Les
« réservoirs de biodiversité » (parfois dénommés
« cœurs d'habitat » ou
« noyaux de biodiversité ») sont en France l'une des quatre composantes majeures de la
trame verte et bleue dans le cadre de laquelle ils doivent être cartographiées ou sont encore
à cartographier (les trois autres grands éléments, complémentaires, étant à prendre en compte et cartographier étant les
Corridors biologiques, les
zones-tampon et la
matrice, dans laquelle peuvent s'intégrer des «
Espaces naturels-relais », qui sont d'autres espaces présentant une couverture végétale qui les rend susceptibles de constituer des espaces relais pour les déplacements de la faune et de la flore à travers le paysage mais pour lesquels le manque d'information quant à leur qualité écologique et biologique ne permet pas de les qualifier plus précisément)
Les
« réservoirs de biodiversité » sont en quelque sorte les
« Point chaud de biodiversité » (« Hot-spot ») existant ou à restaurer aux échelles régionales.