Chez les Vertébrés, le
complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) est largement connu pour son rôle immunitaire dans la reconnaissance du soi et du non-soi (notamment pour ses implications dans le rejet de greffes). L'utilisation du CMH comme marqueur moléculaire dans le choix et la reconnaissance du partenaire sexuel est une autre hypothèse actuellement émise.